De nombreux critères rentrent en compte dans le choix de votre prochaine chaussure de ski : Son volume, sa taille, son flex, ses chaussons...
Cette page permet de donner quelques détails sur certaines caractéristiques à prendre en compte.
Le meilleur moyen reste de vous faire conseiller chez un spécialiste qui vous garanti de pouvoir revenir faire des ajustements gratuitement si nécessaire !
Afin de déterminer les spécificités morphologique de chacun, la prise de mesure est essentielle et prend en compte :
• La longueur : La longueur est un des paramètres les plus important à prendre en compte. En effet, il est possible de déformer la chaussure pour gagner de la place mais les modifications sont limitées. Attention à prendre en compte que la longueur des pieds est asymétrique et qu’elle change au cours de la vie (grossesse, prise de poids, nouvelle pratique sportive, changement de chaussures…). La taille de la chaussure sera également choisie en fonction du niveau et des habitudes des skieurs.
• La largeur des pieds : Elle concerne l’avant pied ou plus communément la largeur métatarse. Il faut également penser à prendre en compte la largeur du talon afin de pouvoir déterminer la largeur de la coque au niveau de l’arrière pied.
• Le volume du mollet et de la cheville : Peu de gens le prennent en compte et pourtant une chaussure de ski qui tient bien la jambe sans être obligé de serrer sa bouclerie au maximum apporte le maintien et le confort nécessaire pour passer de bonnes journée de ski. Pour cela il faut prendre en compte la circonférence du bas et du haut du mollet afin de choisir le collier de la chaussure ou le chausson sur mesure en conséquence.
• La circonférence ou la hauteur du cou de pied : C’est un point important pour le maintient du pied dans la chaussure, la bonne circulation du sang (et donc la chaleur), et la facilité de chaussage. Les chaussures de ski ont toutes une forme de sabot différente au niveau du cou de pied : certaines chaussure sont plutôt bombées offrant de plus de place que certains sabot qui sont relativement plat afin de s’adapter aux petits cou de pieds et aux skieurs à la recherche de précision.
L’objectif est de trouver le compromis entre le maintient et le confort de la chaussure de ski. C’est pourquoi la mise au pied personnalisée de la chaussure est primordiale afin d’adapter la chaussure, le chausson et sa semelle à la morphologie.
Quand on parle du type de pratique on évoque le ski de randonnée, le ski alpin, le ski free ride ou freestyle… Le matériel étant aujourd’hui de plus en plus polyvalent il est possible de choisir une chaussure de ski alliant pratique de la randonnée et du freeride, du télémark et de la randonnée permettant ainsi de répondre aux pratiques hybrides de certains skieurs, skieuses.
Quand on parle de niveau de pratique on associe souvent la notion de flex : c’est la rigidité de la chaussure qui rend compte de sa capacité à transmettre les forces lors de vos virages. On parle également d’élasticité pour permettre de restituer l’énergie créé en « pliant » la chaussure. Cette notion de dureté de chaussure correspond bien à la pratique de ski de compétition. En revanche, un skieur freeride ou un skieur alpin avec un excellent niveau peut préférer skier une chaussure plus souple de type cabrio car elle correspondra mieux à son style de ski.
1. Prise en compte de votre passif de skieur et de vos attentes actuels : Une fiche personnalisée est créé pour chaque skieur et skieuse afin de pouvoir suivre le travail réalisé.
2. Mesures en charge et en décharge d’une dizaine de paramètres clés permettant de modéliser votre morphologie de façon précise.
3. Moulage d’une semelle spécialisée ski sur mesure : Chaque semelle est personnalisé et il est possible de réaliser une semelle orthopédique de correction si nécessaire.
4. Choix du chausson : Chausson d’origine | Chausson thermoformable | Chausson injecté
5. Choix de la coque et adaptation personnalisée
6. Adaptation sur mesure suite à vos premières sorties de ski si nécessaire.
Au delà des critères esthétiques et marketing, on peut juger de la qualité d’une chaussure de ski suivant les critères suivants :
• Le confort que la chaussure vous apporte : Une chaussure qui est confortable vous permettra de prendre du plaisir en skiant et de garder votre chaussure pendant plusieurs saisons. Le premiers critère du confort est l’adéquation de la forme du pied et du mollet avec la chaussure de ski.
• La durabilité de la chaussure dépend des éléments suivants : La qualité du chausson : Est-ce que le chausson vous permet de faire plusieurs saison ou les mousses se tassent rapidement et entraînent un mouvement du pied dans la chaussure avec un manque de maintient ? | La qualité du plastique : | Les semelle interchangeables
• Le maintien qui dépend de la morphologie de vos pieds, chevilles et mollets.
• Les critères de la chaussure : Poids, Flex, Débattement…
Pensez également à vérifier la comptabilité de la norme de votre semelle de ski avec vos fixations. Il existe plusieurs normes qui garantissent la sécurité de votre déchaussage : GripWalk, WTR, Alpine ISO 5355, La norme de semelle rando ISO 9523 Semelles non normées
… Certaines fixations de ski permettent de se régler en fonction de la semelle de la chaussure, c’est un point à prendre en compte lors du choix de chaussure.
Il est primordial de prendre en compte l’ensemble du pied et notamment la différence de largeur entre l’avant pied et l’arrière pied. En effet le choix de chaussure ne pourra se faire uniquement en prenant en compte la largeur métatarse annoncée par la marque.
Il existe de plus en plus de chaussures pour pieds fins avec des flex associés à l’ensemble des niveaux de pratiques. Pour certains pieds, la réalisation d’un chausson sur mesure permettra d’obtenir un chaussant qui respecte la morphologie du pied fin afin de le stabiliser correctement.
Pour les mollets avec une circonférence marquée, le choix de la chaussure de ski en fonction du collier est primordial. Attention cependant à surveiller le maintient du pied dans la chaussure. Un chausson de ski thermoformable sur mesure de type Palau permettra d’allier confort du mollet et stabilité du pied.
Il existe 2 types de chaussures qui seront plus faciles à enfiler :
• Les chaussures type cabrio telles que Dalbello, FullTil, Roxa…
• Les chaussures type entrée arrières. La plupart des skieurs des années … connaissent la Salomon SX … Aujourd’hui ce sont Nordica, et … qui développent cette typologie de chaussure permettant d’ouvrir au maximum le collier pour faciliter l’entrée du pied. Réussir à enfiler sa chaussure de ski est un objectif pour certains mais ce n’est pas une finalité ! Pense à vérifier que le talon, le cou de pied et l’avant pied sont tenus correctement dans la chaussure pour permettre de maitriser les skis et de ressentir un maximum de sensations sans douleurs.
Le chausson étant interchangeable il est tout à fait possible de renouveler le confort et le maintien d’une paire de chaussure de ski sans racheter la partie de la coque plastique.
On commence à entendre parler de recyclage de chaussures de ski, pensez avant de jeter vos chaussures que vous pouvez faire faire une semelle et un chausson neuf permettant d’éviter de racheter une nouvelle paire.
Ces dernières années, le développement des chaussures de ski à été porté sur l’amélioration des chaussons en terme de confort. On parle notamment de confort « instantané » ou de « first fit » pour évoquer le fait qu’il est important de se sentir bien dans la chaussure qu’on essaye en magasin dès les premiers instants. Ces innovations on en effet permis d’obtenir des chaussons avec des coutures moins présentes et une meilleurs répartition des pressions autour du pied et mollet dans la chaussure. En revanche, la durabilité des chaussons en terme de maintien dans le temps est réduite et inadapté pour les skieurs assidus qui sentirons leurs pieds commencer à bouger dans la chaussure dès la 2ieme saison de pratique… C’est pourquoi il est important de choisir une chaussure de ski par rapport au volume chaussant de la coque plastique sans prendre en compte le chausson dans un premier temps.
Au niveau du sabot, la partie basse de la chaussure, il y a peu de différences entre les chaussures homme et les chaussures femme. En effet un moule industriel pour créer une chaussure vaut plusieurs milliers d’euros ce qui limite les capacités d'adaptations en terme de formes.
Le collier, la partie supérieur de la chaussure est plus basse pour les femmes et souvent évasée sur la partie arrière car la jambe est souvent plus courte chez la femme.
Chaussons différents
Circulation différente / frilosité : chausson différents / Q Angle : plus de rotation interne chez la femme : canting
Dans certains cas, un homme sera mieux dans une chaussure femme et le contraire sera vrai aussi. Par exemple un femme de grande taille ou un homme de petite taille auront une meilleure répartition des appuis dans une chaussure homme / femme.
Aujourd’hui tout est personnalisable dans les chaussures de ski : la coque en plastique | les semelles | le chausson | le choix des chaussettes | le choix du système de chauffe.
Le bootfitting correspond à l'adaptation de ces éléments en fonction de votre morphologie, de vos besoins et de vos douleurs.
La première étape reste de choisir la chaussure adéquat avant de vouloir réaliser des adaptations personnalisées. Si c'est déjà fait, vous pouvez passer à l'étape du bootfitting.
Oui c’est tout à fait possible à plusieurs conditions :
• Vérifier que la taille de la semelle correspond à la taille de la chaussure de ski car de manière générale le taillant varie entre les chaussures du quotidien avec les chaussures de ski.
• Vérifier que le volume de la semelle orthopédique correspond au volume de la chaussure de ski afin d’avoir un confort optimal.
• Vérifier la rigidité de la semelle : La pratique du ski présente un appui avec beaucoup de force au niveau plantaire, c’est pourquoi la semelle de votre podologue doit être assez rigide afin d’être efficace en terme de stabilité. La plupart du temps la rigidité de la semelle orthopédique réalisée pour le quotidien ne sera pas suffisante pour stabiliser le pied dans la chaussure de ski.
Il est possible de thermoformer le chausson et la coque de la chaussure de ski. La déformation de la coque nécessitant du matériel spécifique, on parle plutôt de thermoformage pour la modification du chausson. Le concept est simple : En chauffant le chausson, la mémoire de forme de la mousse EVA devient « active », il est alors possible de modifier certaines parties du chausson en l’agrandissant. NB : Les chaussons d’origine comportent certaines zones thermoformables qui sont le plus souvent l’avant pied, la cheville et la languette au niveau du tibia. Lors du thermoformage attention de ne pas faire trop de place dans votre chaussure auquel cas votre pied sera moins bien tenu. C’est pourquoi dans certains cas il est possible de réaliser une découpe du chausson et un changement de matière afin de déformer uniquement la partie nécessaire et de garder le maintien sur le reste du pied.
Afin de garder votre chausson de ski en bon état il est important de le garder au sec. Pensez donc à le sortir des coques afin de le faire sécher : GIF
Plusieurs raisons rendent difficile l’étape du chaussage de la chaussure :
• une mobilité de cheville restreinte en flexion plantaire
• une hauteur de cou de pied prononcée
• une coque qui reste au froid avant la sortie de ski et qui par conséquent est plus rigide qu’à la normale
Même si le choix du modèle est primordial, il est possible de jouer avec certains paramètres tels que le volume du chausson et le revêtement de la semelle.
Vos pieds commencent à bouger et vous oblige à serrer vos crochets plus que d'habitude ? Des douleurs apparaissent ? Vous avez froid aux pieds de plus en plus souvent ?
Il est possible d'adapter votre paire actuelle au lieu d'acheter une nouvelle paire. Nous pouvons travailler sur la semelle, le chaussons et la coque pour vous permettre d'être de nouveau confortable et maintenu pendant vos sorties de ski.
Dans certains cas il est possible d’intégrer une solution chauffante équipée d’une batterie afin d’apporter plus de chaleur pendant vos journée de ski.
De façon générale on intègre la chauffe pour deux raisons :
• Certaines personnes présentent une circulation sanguine et une sensibilité au froid qui rendent la pratique du ski inconfortable voir impossible. On parle souvent dans ce cas du syndrome de Raynaud.
• Pour les skieurs réguliers tels que les professionnels ou saisonniers qui skient au quotidien. Les conditions météo et la fatigue sont la raison du froid aux pieds plusieurs fois dans la saison. En fonction des besoins, il est nécessaire de choisir la solution adéquat :
- Les semelles chauffantes sont idéales pour les skieurs réguliers et pour les chaussures aux petits volumes chaussants
- Les chaussettes chauffantes sont idéales pour les personnes qui ont le syndrome de Raynaud et qui ont besoin d’une solution adaptable dans plusieurs chaussures (ski, quotidien, chasse, sorties outdoor, golf…)
- Il existe également de plus en plus de chaussures chauffantes type … … … . C’est une bonne solution uniquement si la chaussure correspond a votre morphologie et vos besoins ! En effet la plupart des problématiques de pieds sont issues d’un problème de chaussant (chaussure trop grande, galbe du sabot pas assez prononcé pour la hauteur du cou-de-pied, circulation sanguine contrainte au niveau de la malléole et du cou-de-pied…).
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Le choix du port de la semelle orthopédique doit être décidé suite à un examen clinique complet et la plupart du temps en coordination avec plusieurs professionnels (la liste n’est pas exhaustive) : Médecin | Rhumatologue | Kinésithérapeute | Ostéopathe | Podologue | Orthésiste…
Voici plusieurs cas de figures dans lesquelles la semelle orthopédique peut être réalisée :
• Pour soulager des douleurs aux pieds, dans les jambes ou le dos
• Pour prévenir la fatigabilité du pied, notamment afin d’apporter du confort aux professions qui sont exigeantes en terme de posture et de nombre de pas quotidiens : Restauration | Manutention | Artisans | BTP …
• Pour permettre de continuer de pratiquer son sport sans douleur. En effet, l’activité physique est bénéfique pour la santé mais l’apparition de douleurs lors de la pratique sportive décourage certains patients.
• Pour accompagner le développement postural des enfants quand cela est nécessaire
La réponse dépend de la raison du port des semelles orthopédiques.
Dans certains cas il n’est pas nécessaire de renouveler ses semelles car les problématiques sont réglées et vous devez de nouveau habituer votre pied à travailler naturellement sans orthèse plantaire de façon évolutive.
Votre praticien vous expliquera comment enlever progressivement votre paire de semelle et vous donnera des conseils de chaussant pour la vie de tous les jours et pour le sport.
Dans d’autres cas, le spécialiste en podologie (podologue, orthésite podologiste…) réalisera un bilan pour observer l’évolution des problématiques et douleurs au pied afin de réaliser une nouvelle paire de semelle si nécessaire.
Pensez bien que le pied évolue tout au long de votre vie, à titre d’exemple, le pied peut prendre jusqu’à 1cm de longueur en une journée de travail par temps chaud. Dans ce sens il est important de réaliser un bilan au maximum au bout d’un an de port de la semelle orthopédique afin de valider son utilité et sa pertinence par rapport à l’évolution de votre pied et de votre corps dans son ensemble.
Le prix d’une semelle orthopédique peut aller de 120€ à plus de 200€. Il faut bien différencier le prix de la semelle (en moyenne 110€) et le prix du bilan de podologie (en moyenne 50€). En effet, il faut réaliser un bilan afin de décider si il vous faut des orthéses plantaire et le cas échéant, choisir quel type de semelle vous conviendra. Voici quelques critères à prendre en compte afin de pouvoir juger de la valeur de la semelle orthopédique :
•Les matériaux utilisés peuvent changer le prix de la semelle, en effet le prix du liège et du carbone sont totalement différent et modifient le prix final de la semelle. C’est pourquoi le plan de semelle est choisi de façon personnalisé. Par exemple, pour la course à pied il est possible de réduire le poids de la semelle en changeant certaines matières.
•Le temps prit par le praticien pour réaliser le bilan et la visite de contrôle qui peuvent durer entre 1 heure et plus de 2 heures.
•Le contenu du bilan qui peut prendre en compte plusieurs critères en fonction des compétences de votre podologue ou orthésiste : Podologie pour les enfants et réflexes archaïques | Podologie du sportif et préparation physique sans douleur | Réathlétisation | Adaptation personnalisée et modifications des chaussures de sport (ski, vélo, crampons…) |
•Les outils utilisés lors du bilan et de la conception de la semelle orthopédique. En effet l’utilisation de logiciels embarqués pour l’analyse de la marche et de la course ou la conception 3D de votre orthèse plantaire influent sur le prix final de la semelle
La sécurité sociale rembourse une partie des frais associés à la conception des semelles orthopédiques :
• pour les pointures en dessous du 28 le tarif de remboursement est de 25,88 € la paire
• pour les pointures du 28 au 37 le tarif de remboursement est de 28,04 € la paire
• pour les pointures au dessus 37 le tarif de remboursement est de 28,86 € la paire.
La durée de renouvellement d’orthèses plantaires varie en fonction de l’âge du patient. Les semelles orthopédiques sont remboursées tous les 6 mois pour les enfants jusqu’à 16 an du fait de leur croissance et de leur changement de pointure fréquent puis tous les ans à partir de 16 ans.
Afin d’obtenir le remboursement de la sécurité sociale, il faut présenter une ordonnance médicale au podologue ou orthésite podologiste qui la fera passer à la sécurité sociale.
Une facture peut être réalisée afin de vous faire rembourser par votre organisme mutuelle.
Afin de connaître le montant de remboursement, il faut se renseigner auprès de votre mutuelle concernant la partie "petit appareillage". Le remboursement peut être définie par un forfait ou un pourcentage sur la base du remboursement de la sécurité sociale. Pour les forfaits de prise en charge de semelle orthopédique, vous pouvez compter jusqu’à 200€ Pour les pourcentages de prise en charge de semelle orthopédique, vous pouvez compter jusqu’à 450%
La prescription de semelles passe par un médecin généraliste ou un médecin spécialisé tel que le médecin du sport, un rhumatologue, un chirurgien orthopédiste.
Concernant la réalisation d'une première paire de semelle orthopédique, l'ordonnance est valide pendant 6 mois. Pour les renouvellements de semelle orthopédique la validité est de 3 ans.
Il existe plusieurs diplômes permettant de réaliser des semelle orthopédiques : L’orthésiste podologiste | Le podo orthésiste | Le pédicure podologue | L’ortho prothésiste.
Vous vous demandez quel praticien choisir ? Le but est de trouver un professionnel spécialisé par rapport à vos besoins, indépendamment du diplôme. Chaque praticien se spécialise sur certains domaines tels que la podologie du sport, la podo pédiatrie pour les enfants ou le post opératoire par exemple. Ce sont ces spécialisations qui permettront de vous diriger vers le professionnel qui correspond le mieux à vos besoins.
On entend souvent qu'une paire de semelle orthopédique doit être renouvelé tous les ans. En effet, c'est le délais de la période de préscription. En revanche il est important de se poser les bonnes questions :
• Est-ce que votre semelle est toujours en bon état ? En fonction des méthodes de fabrication, des matériaux utilisés et de votre usage, la semelle peut durer plus d'un an.
• Avez-vous toujours besoin de votre paire de semelle orthopédique ? Réaliser un bilan chez votre podologue ou orthésiste podologiste vous permettra de faire le point sur vos problématique en comparant le bilan réalisé l'année précédente. Dans certains cas il sera pertinent de retirer la semelle orthopédique de façon progressive.
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Voici quelques critères de choix à surveiller lors du choix de la chaussure de vélo :
• Le taillant : Aussi simple que cela puisse paraître, de nombreux cyclistes se trompent sur le taillant de leurs chaussures de vélo. En effet il n'y a pas de standardisation des tailles de chaussures de vélo et chaque modèle possède son propre taillant. La meilleure stratégie reste d'essayer sa chaussure !
• Le volume chaussant doit maintenir le pied sans le contraindre (la largeur métatarse | la hauteur du cou de pied | la boite à orteils | la pince talon)
• La rigidité et le type de matériaux utilisés que ce soit pour la semelle ou pour la tige doivent être choisit en fonction du niveau de pratique mais aussi du niveau de sensibilité du pied : Pas de confort, pas de performance
• La semelle interne doit supporter la voute plantaire sans être intrusive
Le bikefitting permet à la fois d’optimiser les performances et d’améliorer le confort sur le vélo.
Le cabinet de podologie est spécialisé dans l’amélioration du confort et dans la prise en charge des cyclistes qui présentent des douleurs en pédalant.
Contrairement aux idées reçues, tous les cyclistes sont concernés par les douleurs : le sportif | le pratiquant quotidien pour les trajets professionnels | le pratiquant sur home trainer | le pratiquant sur vélo électrique…
En amont de l’analyse sur vélo, une anamnèse et un examen clinique sont nécessaires afin de mettre en évidence certaines problématiques en lien avec la douleur.
Manque de souplesse, déficience musculaire, mauvaise planification d’entraînement peuvent être la cause d’une douleur. C’est pourquoi la prise en charge et l’accompagnement du cycliste sont global : Antécédents | Association morphologie - vélo | Capacités physiques.
Les étapes suivantes permettent d"améliorer le confort des pieds pendant les sorties de vélo :
1. La taille et le volume chaussant de la chaussure reste la problématique n°1 pour de nombreux cyclistes. Prendre soins de vérifier les paramètres suivants : Le modèle de chaussure adapté à la morphologie de vos pieds | Une semelle qui correspond à votre voute plantaire | Des chaussettes fines | Une préparation du pied sera appréciable voir nécessaire
2.
3. La posture sur le vélo ainsi que la dynamique de pédalage ont un impact sur les pressions plantaires. C'est pourquoi il est important d'avoir un regard global lors de la prise en charge des douleurs aux pieds pendant la pratique du vélo. Commencer par adapter le réglage des cales reste suffisant pour de nombreux cyclistes.
Le premier point à prendre en compte c’est le volume du pied par rapport au volume de la chaussure. En effet, dès que la chaussure contraint le pied, des problèmes arriveront tôt ou tard en fonction de la sensibilité du cycliste à cause des compressions au niveau du système nerveux et/ou du système sanguin.
Plus la chaussure sera rigide plus les contraintes seront ressenties rapidement c’est pourquoi il est d’autant plus important de veiller d'avoir un chaussage personnalisé quand les chaussures sont rigides.
Le deuxième point est lié à la typologie de pied et sa répartition d’appuis. Par exemple les pieds creux sont plus sujets à ce type de douleur et de sensations de brulures car les appuis sont hyper localisés et on observe sur plateforme de pression des surpressions.
Le troisième point, c’est l’axe du pied notamment lors de la phase de poussée car pour certains cyclistes le fait d’être désaxé entraine des hyper appuis qui entrainent des douleurs plantaires.
Pour de nombreux pratiquant, la diversité de chaussures à disposition sur internet et en magasin rend le choix compliqué à réaliser.
Le premier critère qu’on à tendance à regarder c’est notre typologie de pratique : Trek | Marche nordique | Randonnée | Alpinisme...
Le choix d’une paire de chaussure pour la marche repose cependant en premier lieu à la forme de vos pieds :
• La forme et le volume au niveau des orteils correspondant à la « toe box » ou boîte à orteils de la chaussure
• La largeur de l’avant pied (largeur métatarse) qui correspond au « last » de la chaussure pour les marques qui proposent différent chaussant tels que Scarpa, Lowa et Innov8 pour ne citer qu’eux.
• La largeur du talon : C’est un élément clés à prendre en compte pour maintenir les talons fin et ainsi éviter les ampoules et instabilité liées au chaussant.
• La hauteur du cou de pied qui peut être problématique pour certains pratiquants qui ont du mal à enfiler leur chaussures et qui ont des problèmes liés à la compressions des veines ou des nerfs qui passent au niveau du cou de pied (image nerfs et veines)
• Le choix de la bonne taille de chaussure qui varie en fonction des marques, de la pratique (on ne prendra pas le même chaussant pour des marches d’approche en terrains pierriers par rapport à des trek au long court sur des sentiers roulants).
• Pour certaines morphologies il faudra également prendre en compte la forme et le volume des malléoles qui peuvent être gênantes quand elle sont comprimées, qu’elles bougent ou qu’elles sont la zone de frottement incessant tout au long de la randonnée.
L’industrie de la chaussure fait en sorte de chausser les plus grand nombre de pied avec le moins de modèles différents afin d’optimiser les coût de production et la logistique associée. C’est pourquoi il est souvent compliqué de trouver une chaussure de randonnée confortable quand on a le pied plus fin que la moyenne.
Ce qu’il faut identifier c’est les différentes parties de la chaussure qui permettent de stabiliser le pied afin d’éviter, les frottements, ampoules, fourmillements, ongles noirs et autres :
• Le contrefort ou la pince talon : C’est son galbe et sa rigidité qui maintiennent le talon de la chaussure
• Le cou de pied : C’est sa hauteur, et le type de laçage qui maintiennent le médio pied
• La largeur métatarse ou « last » qui permet de stabiliser l’avant du pied
• On parle également de … qui correspond au maintient de l’arrière pied par le contrefort et le laçage
Afin de stabiliser le pied il faut choisir les plus petits volumes chaussant possibles en gardant la bonne taille. Si ce n’est pas suffisant voici quelques solutions complémentaires :
• Optimiser le laçage de la chaussure en réalisant un laçage spécifique pour les pieds fin
• Réaliser une semelle sur mesure permettant d’apporter de la stabilité et de d’optimiser le volume chaussant en regard du volume du pied
L’industrie de la chaussure fait en sorte de chausser les plus grand nombre de pied avec les moins de modèles différents afin d’optimiser les coût de production et leur logistique. C’est pourquoi il est souvent compliqué de trouver une chaussure de randonnée confortable quand on a le pied plus large que la moyenne. En fonction des morphologies de pied, les douleurs et gênes sont situées à différents endroits :
• Au niveau de l’arrière pied et du talon : le choix d’une pince talon au format généreux permettra d’éviter les compressions, ampoules, fourmillements…
• Au niveau du médio pied et notamment du cou de pied : Le volume du cou de pied permettra d’éviter les compression de la circulation sanguine et des nerfs amenant les fourmillements et douleurs dans le reste du pied. • Au niveau de l’avant pied sur les têtes métatarses et les orteils : la largeur de la chaussure et le volume de la boîte à orteils permettent au pied de travailler en toute liberté sans contrainte ou compression amenant des douleurs et des gênes.
Les solutions :
• Choisir un volume chaussant adapté à la morphologie du pied paraît évident mais doit rester la priorité pour avoir une base de travail optimal si il y a besoin de réaliser des modifications par la suite
• Un laçage personnalisé permet de créer des décharges au niveau de la languette ou des têtes métatarses afin d’améliorer le confort
• Une semelle sur mesure permet de gagner de la place dans la chaussure et de répartir les pressions afin de stabiliser le pied et d’amener plus de confort
• La déformation en atelier est possible : On déforme la chaussure afin de créer du volume chaussant et d’assouplir la chaussure aux endroits douloureux
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Voici quelques points à vérifier :
• La largeur de la pince talon ou contrefort de la chaussure
• Le laçage et le … sont-il optimisés pour maintenir le pied ?
• Le rôle de la chaussette est clé dans type de problématique car le maintient commence par l’adaptation de la forme et du volume de la chaussette
• Vérifier la taille des chaussures : la plupart du temps le problème du talon résulte d’un taillant trop grand
• Si nécessaire, une paire de semelle permettra de stabiliser le pied afin de maintenir le talon
L’ongle noir peut être douloureux ou non en fonction des randonneurs, voici quelques points à vérifier si vous souhaitez soulager les douleurs dans vos chaussures :
• Attention la chaussure peut être trop petite … ou trop grande ! En effet si il y a trop de volume chaussant, le pied est instable et ceci génère des micro traumatismes répétés tout au long de la journée de randonnée
• Un laçage personnalisé permettra d’offrir plus de maintient au pied
• Une semelle permettra de stabiliser le pied afin d’éviter les mouvements pendant la marche notamment pendant les phases de descente.